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Etoile d’Amiens : Après un mois de mobilisation, la grève pour gagner !

Le 15 décembre 2024, la vente à la découpe de l’entreprise ferroviaire historique est devenue concrète avec les transferts des contrats de travail des Cheminots sur l’Étoile d’Amiens, l’Étoile de Nice et le Tram Train de Nantes. Quinze jours plus tard, c’était le tour des collègues du Fret d’être transférés dans 2 filiales. Ces premières ouvertures à la concurrence sont autant de tests grandeurs natures pour les dirigeants sur la casse du cadre social cheminot, aidés dans cette tâche par la signature des accords de branche avec certaines OS dites représentatives. Retour sur les premiers jours de la filiale SNCF Voyageurs Étoile d’Amiens – SVEA.

Etoile d’Amiens : des négociations dans le cadre d’un rapport de force annoncé

Des inquiétudes persistent quant aux effectifs, notamment en raison des projets de création d’Unités Régionales d’Intervention Rapide dans un contexte marqué par la fermeture de sites. Par ailleurs, la question récurrente de la contractualisation continue de poser problème, particulièrement en raison de l’ouverture à la concurrence. Les filialisations prévues dans les réseaux TER et Transilien font craindre une réduction des volumes horaires globaux contractualisés, impactant potentiellement les conditions de travail et l’emploi des agents.
Le groupe de travail a également axé ses discussions sur l’importance de la communication, devenue essentielle à l’ère numérique. Il a été décidé de renforcer la présence sur les réseaux sociaux et de développer les communications par vidéo, afin de toucher un plus grand nombre d’agents rapidement et d’adopter la modernité imposée par notre époque.
Enfin, le GT Sûreté a réfléchi à ses prochaines initiatives, avec la volonté de relancer des mobilisations d’envergure nationale. Ces actions, comme celles menées avec succès au cours de l’année écoulée, visent à obtenir une réelle prise en compte des revendications des agents et à affirmer leur voix dans les décisions impactant leur métier.
Le 25 novembre prochain, une délégation FO Cheminots sera reçue à l’Assemblée Nationale pour être entendue dans le cadre d’un projet de loi relatif au renforcement de la sûreté dans les transports. Ce sera l’occasion de rappeler nos revendications et analyses, et notamment la problématique de la contractualisation qui paralyse le travail des agents au quotidien et fait peser à termes des menaces sur les effectifs.

Un GT sûreté d’actions

Des inquiétudes persistent quant aux effectifs, notamment en raison des projets de création d’Unités Régionales d’Intervention Rapide dans un contexte marqué par la fermeture de sites. Par ailleurs, la question récurrente de la contractualisation continue de poser problème, particulièrement en raison de l’ouverture à la concurrence. Les filialisations prévues dans les réseaux TER et Transilien font craindre une réduction des volumes horaires globaux contractualisés, impactant potentiellement les conditions de travail et l’emploi des agents.
Le groupe de travail a également axé ses discussions sur l’importance de la communication, devenue essentielle à l’ère numérique. Il a été décidé de renforcer la présence sur les réseaux sociaux et de développer les communications par vidéo, afin de toucher un plus grand nombre d’agents rapidement et d’adopter la modernité imposée par notre époque.
Enfin, le GT Sûreté a réfléchi à ses prochaines initiatives, avec la volonté de relancer des mobilisations d’envergure nationale. Ces actions, comme celles menées avec succès au cours de l’année écoulée, visent à obtenir une réelle prise en compte des revendications des agents et à affirmer leur voix dans les décisions impactant leur métier.
Le 25 novembre prochain, une délégation FO Cheminots sera reçue à l’Assemblée Nationale pour être entendue dans le cadre d’un projet de loi relatif au renforcement de la sûreté dans les transports. Ce sera l’occasion de rappeler nos revendications et analyses, et notamment la problématique de la contractualisation qui paralyse le travail des agents au quotidien et fait peser à termes des menaces sur les effectifs.

Privatisation des TER dans les Hauts-de-France

Privatisation des TER dans les Hauts-de-France.
Polyvalence imposée, perte d’acquis, craintes
pour l’emploi, risques de dégradation du service…
FO dénonce l’ouverture à la concurrence
du transport ferroviaire de voyageurs
dans les Hauts-de-France.

Direction de Ligne Limousin – Périgord

Des inquiétudes persistent quant aux effectifs, notamment en raison des projets de création d’Unités Régionales d’Intervention Rapide dans un contexte marqué par la fermeture de sites. Par ailleurs, la question récurrente de la contractualisation continue de poser problème, particulièrement en raison de l’ouverture à la concurrence. Les filialisations prévues dans les réseaux TER et Transilien font craindre une réduction des volumes horaires globaux contractualisés, impactant potentiellement les conditions de travail et l’emploi des agents.
Le groupe de travail a également axé ses discussions sur l’importance de la communication, devenue essentielle à l’ère numérique. Il a été décidé de renforcer la présence sur les réseaux sociaux et de développer les communications par vidéo, afin de toucher un plus grand nombre d’agents rapidement et d’adopter la modernité imposée par notre époque.
Enfin, le GT Sûreté a réfléchi à ses prochaines initiatives, avec la volonté de relancer des mobilisations d’envergure nationale. Ces actions, comme celles menées avec succès au cours de l’année écoulée, visent à obtenir une réelle prise en compte des revendications des agents et à affirmer leur voix dans les décisions impactant leur métier.
Le 25 novembre prochain, une délégation FO Cheminots sera reçue à l’Assemblée Nationale pour être entendue dans le cadre d’un projet de loi relatif au renforcement de la sûreté dans les transports. Ce sera l’occasion de rappeler nos revendications et analyses, et notamment la problématique de la contractualisation qui paralyse le travail des agents au quotidien et fait peser à termes des menaces sur les effectifs.

DZ Sûreté Sud-Ouest Non a la fermeture de sites

Des inquiétudes persistent quant aux effectifs, notamment en raison des projets de création d’Unités Régionales d’Intervention Rapide dans un contexte marqué par la fermeture de sites. Par ailleurs, la question récurrente de la contractualisation continue de poser problème, particulièrement en raison de l’ouverture à la concurrence. Les filialisations prévues dans les réseaux TER et Transilien font craindre une réduction des volumes horaires globaux contractualisés, impactant potentiellement les conditions de travail et l’emploi des agents.
Le groupe de travail a également axé ses discussions sur l’importance de la communication, devenue essentielle à l’ère numérique. Il a été décidé de renforcer la présence sur les réseaux sociaux et de développer les communications par vidéo, afin de toucher un plus grand nombre d’agents rapidement et d’adopter la modernité imposée par notre époque.
Enfin, le GT Sûreté a réfléchi à ses prochaines initiatives, avec la volonté de relancer des mobilisations d’envergure nationale. Ces actions, comme celles menées avec succès au cours de l’année écoulée, visent à obtenir une réelle prise en compte des revendications des agents et à affirmer leur voix dans les décisions impactant leur métier.
Le 25 novembre prochain, une délégation FO Cheminots sera reçue à l’Assemblée Nationale pour être entendue dans le cadre d’un projet de loi relatif au renforcement de la sûreté dans les transports. Ce sera l’occasion de rappeler nos revendications et analyses, et notamment la problématique de la contractualisation qui paralyse le travail des agents au quotidien et fait peser à termes des menaces sur les effectifs.